Séjour au Rajastan du 22 février au 4 mars 2015


Cela fait quelques temps que nous envisagions de visiter cette contrée de l'Inde. La décision fut prise de partir avec Promovacances, le tour operateur avec qui nous avions fait la Chine en 2013.

Nous sommes partis le 22 février par un vol Roissy-New Delhi via Munich de Lufthansa. Cette fois pas de A380 mais un A330 un peu bruyant et moins spacieux. Mais finalement plus confortable que le bus qui nous transportera pendant plus de 2000 kms par les routes indiennes avec sa panne et ses vibrations.

Les visites des palais très intéressantes. La découverte de cette région désertique (au moins pour la plus grande partie est vers la frontière Pakistanaise) où la misère et la saleté difficilement supportables côtoient la magnificence des palais et bien entendu de l'une des nouvelles merveilles du monde: le Taj Mahal (Agra). La vie est encore fortement influencée par les traditions anciennes et les contraintes liées aux castes surtout dans les campagnes.

En conclusion, nous sommes heureux d'avoir fait ce voyage enrichissant au sein d'un groupe d'une grande convivialité.

Généralités sur la situation en Inde

Une population de 1,2 milliard d'habitants qui croit plus vite que la Chine. Le Rajasthan (pays des rois) représente 10% de la surface totale (3,82millions de kms2).

Le gouvernement fédéral (28 Etats) est dirigé depuis 2014 par le 1er Ministre Narenda Modi originaire du Gujarat, état situé sur la cote ouest en dessous du Rajasthan. L'Inde, possède un fort potentiel, plus ouverte désormais aux capitaux étrangers est en croissance moyenne (6,3% prévu en 2015), reste un pays pauvre classé 142e sur 189 par la Banque mondiale.

En 1947, l'indépendance est proclamée et la séparation avec le Pakistan musulman. Gandhi s'est battu contre le système des castes et a fait réserver 33% des postes administratifs aux intouchables appelés autrefois les "pieds de Brahma" car ils ne pouvaient pas entrer dans un temple. Aujourd'hui certains "Brahmines" sont pauvres et des intouchables sont devenus riches. L'ex Président était un intouchable. L'agriculture représente 70% du PIB national.

Climat: la mousson est moins importante que dans le passé récent, ce qui a un impact sur la culture et sur les capacités d'irrigation. Par contre il y a plus de pluies d'orage en hiver.

Le système social indien

L'éducation, non obligatoire dans la plupart des Etats reste le problème majeur avec la corruption des politiques à tous les niveaux.

L'école est gratuite dans les établissements d'Etat pour les filles et les intouchables et coute 20€ pour les autres. Les repas du midi, les livres et l'uniforme sont gratuits. Cependant il reste 35% environ d'illettrés dont 46% de femmes. Bien entendu les écoles privées sont meilleures mais très chères.

Encore aujourd'hui dans les campagnes, l'épouse (Majeure à 18 ans) doit se marier et apporter une dot importante, bien que cela soit en principe interdit par la loi. Dans le passé récent, certaines femmes se suicidaient car elles ne pouvaient pas apporter la dot espérée par la famille du mari. Après leur mariage, les femmes vivent au sein de la famille du mari et en général ne recevront pas leur part d'héritage réservé aux fils. L'épouse, qui n'a pas le droit de travailler, est aux ordres de ses beaux-parents et du mari. Elle doit aider sa belle-mère pour les tâches ménagères, ne peut pas adresser la parole à son beau-père, et doit passer par la belle-mère ou son mari.

Les fils vivent en général chez les parents dont ils baisent  les pieds tous les matins avec une main sur le front en signe de respect.

Dans chaque village il y a un dispensaire qui soigne et distribue les médicaments gratuitement. Mais les hôpitaux manquent de moyens en particulier pour soigner le sida. Les plantes médicinales sont très utilisées pour soigner les maux courants. La misse de vache sacrée permet semble t-il de guérir de la malaria.

La retraite des fonctionnaires est à 60 ans. Ils reçoivent 50% de leur dernier  salaire avec rétroversion pour l'épouse en cas de décès du mari. Pour le privé rien! à l'exception des personnels des usines. Le taux de chômage est officiellement de 23% mais probablement beaucoup plus élevé. Il n'y a pas de CDI en Inde.

L'extrême pauvreté et la saleté sont présentes partout en Rajasthan surtout dans les villes. Les détritus jonchent les rues et les routes avec des monceaux de sacs plastiques qui volent au gré du vent. Les vaches en liberté se nourrissent des ordures qu'elles étalent partout. Les vendeurs "repoussent" la poussière et les déchets devant leur magasin de quelques mètres avec leur balai de paille avec beaucoup d'abnégation mais sans grande efficacité!  Le vent va rapidement annuler le travail harassant des hommes.

1ère étape: New Delhi (samedi 21 février)

Le groupe Promovacances composé de 28 membres venant de toute la France se retrouve à l'aéroport de Delhi avant de rejoindre l'hôtel "African Avenue" dans un quartier résidentiel de Delhi. Nous apprenons par notre guide Lalit notre premier mot hindi "namaste" (on prononce "namasté") en joignant les mains au niveau du torse pour dire "bonjour". Pour certains, dont je fais partie, ce sera le seul mot retenu! Coucher vers 2h du matin et lever à 8h le samedi.

Nous visitons la mosquée Jama Masjid, la plus grande d'Inde. Avant d'entrer il faut bien entendu se déchausser et enfiler des vêtements corrects loués par les gardiens. De la mosquée à ciel ouvert l'on découvre les vieux quartiers d'Old Delhi, avec ses ruelles poussiéreuses encombrées avec les torons de câbles électriques impressionnants. Puis nous faisons route vers le mausolée de Gandhi, très sobre au milieu d'un beau jardin, puis de l'India gate, arc à la mémoire des morts de la guerre 14-18.

Après une courte visite des beaux quartiers de New Dehli, nous voilà embarqué dans notre "super bus de luxe" pour une étape de 270 kms vers la petite ville de Mandawa et 7h30 de secousses et de coups de frein pour éviter les incontournables vaches sacrées et autres chiens et chèvres en liberté. Sur la route nous faisons une "pause technique" et Lalit nous offre l'apéro d'accueil à base d'alcool de canne à sucre avec ou sans coca. Nous arrivons à notre hôtel Sara Vilas vers 21h.

2e étape: Mandawa - Bikaner (lundi 23 février)

Nous visitons les fameuses maisons "haveli" des riches marchands. Elles sont pour la plupart en très mauvais état. Les propriétaires ont quitté les lieux depuis des lustres et on confié la garde de la maison à un habitant du village heureux de profiter d'un beau logement gratuit! Sur la route de Bikaner nous tombons en panne dans le village de Fateypur. La transmission est tombée sur la route, le bus est immobilisé en plein milieu de la chaussée et cause un encombrement énorme. Après une réparation de fortune et 3 heures d'arrêt le bus repart en vibrant de toute sa carcasse au delà de 60 kmh. En attendant que notre bus soit réparé nous achetons tous les fruits d'un petit vendeur ambulant qui n'en croyait pas ses yeux!

Nous nous arrêtons visite le temple Shri Karni Mata, dit le temple aux rats sacrés...il y en a plus de 6000 qui courent dans tous les sens! Certaines femmes du groupe n'ont pas supporté ce spectacle très odorant et sont sorties du temple sans demander leur reste. Michèle a mis nos chaussettes (nous étions évidemment déchaussés) directement à la poubelle! Nous arrivons sans encombre, mais complètement abruti par le bruit du bus,  à notre hôtel Maharaja Ganga Mahal, superbe palais transformé en hôtel de luxe de la chaine appelée "héritage". Le lit fait plus de 2m de large et la chambre est très vaste. Nous sommes accueillis avec des colliers de fleurs.

3e étape: Bikaner - Jaisalmer (mardi 24 février)

Bikaner est appelée la ville rose de la couleur des briques qui constituent la plupart des maisons et palais. Nous visitons le fort de Junagarh avec ses palais intérieurs magnifiques et les moucharabiés finement découpés des bâtiments réservés aux épouses et concubines du Maharaja.

Lalit profite des longs trajets en bus pour nous donner des informations sur la vie en Inde et ses traditions encore très vivaces surtout dans les campagnes (70% des habitants). Il a tendance à répéter au moins deux fois les phrases en espérant peut-être que nous les retiendrons mieux. L'avenir lui prouvera que non!

Ainsi il nous indique que la couleur noire est-elle celle qui protège contre les mauvais esprits. Tous les camionneurs placent  à l'avant de leur camion "Tata" un cordon noir. On les comprend! Les dangers de la route sont nombreux de jour comme de nuit. Les camions ont un panneau à l'arrière sur lequel est écrit: "Blow Horn" (littéralement "soufflez dans la trompe"). Cela explique que les chauffeurs ont la main collée sur le klaxon. 

Après une longue étape de 300 kms à travers le désert de Thar, où nous traversons quelques villages dans des zones cultivées (un canal d'irrigation amène l'eau du Gange), nous rejoignons Jaisalmer. Nous croisons beaucoup de convois de camions militaires car la frontière avec le Pakistan n'est pas loin. Nous visitons un cénotaphe royal  (emplacement pour la crémation) qui sert aujourd'hui à tous les indiens quelques soit leur caste. La tradition veut que lors du décès d'un parent, les héritiers, si leurs moyens le permettent, doivent inviter la famille, les amis et les voisins à un repas qui peut réunir plusieurs centaines de convives. Un mois après, rebelote et six mois après "dix de der"! Les cendres seront jetées dans le Gange en principe à Bénarès si les moyens de la famille le permet. Nous arrivons à l'hôtel Gorbandh Palace (ancienne retraite royale).

4e étape: Jaisalmer (mercredi 25 février)

La journée commence par la visite de la forteresse, sise sur un piton rocheux impressionnant. Elle est construite en pierre sèche rose et domine la ville. A l'intérieur de la forteresse se trouve un petit et très beau temple jaïn, ce schisme de l'indouisme né 500 ans avant JC. Les "prophètes" font œuvre de piété et sont contre toute violence même à l'encontre des plus petits êtres vivants sur terre. Pour devenir prophète du 2e cercle il faut tout abandonner et prendre la route pendant cinq années.


L'après midi après une sieste réparatrice, nous nous rendons dans le désert pour une ballade en dromadaire. Un quinzaine de bêtes nous attendent avec leur chamelier. Ils nous emmènent sur une dune où nous attendrons le coucher du soleil.

Je commence à ressentir les effets de la nourriture indienne très épicée sur mes intestins. Je ne suis pas le seul homme du groupe et tout le monde s'entraide en proposant les médicaments ad hoc. Bizarrement , seuls la moitié des hommes du groupe seront touchés.

5e étape: Jodhpur (jeudi 26 février)

Départ de l'hôtel pour une étape longue de 270 kms avec un déjeuner dans un restaurant  jaïn (végétalien) Shandari farm house avec riz à volonté et coca-cola pour moi qui commence à souffrir des intestins. En fait, seule la moitié des hommes auront des problèmes et pas les femmes! La solidarité dans le groupe fut remarquable, chacun partageant ses médicaments avec les malades.

Nous visitons le fort Mehrangath, le plus grand du Rajasthan. Nous sommes invités à un "safari" en jeep dans la campagne où nous verrons quelques paons (et pas grand chose d'autre!). Nous rendons visite à un vieil homme qui nous fait une démonstration de la préparation d'une boisson énergisante à base d'opium mélangé à de l'eau. Il en fait une consommation journalière ce qui l'a rendu dépendant mais heureux de vivre avec son épouse timide au sourire édentée. Lalit nous précise que le viagra comprend 40% d'opium et qu'il faut 100 kgs d'opium pour faire un kilo d'héroïne. Nous logons dans un bel hôtel "héritage" Fort Chanwa Lum construit en 1894 par un richissime édile de Jodhpur, président du tribunal local.

6e étape: Jodhpur - Udaipur (vendredi 27 février)

Encore une étape de 270 kms. Nous visitons le plus grand temple jaïn en Inde Dilwarah, temple d'Adinath, près du Mont Abu. Comme d'habitude, il faut se déchausser mais également se débarrasser de sa ceinture en cuir! Même le guide n'a pas le droit de parler dans le temple.

Il a été magnifiquement rénové par un riche mécène suite à une destruction par des envahisseurs. Chacun des 144 piliers est richement travaillé. L'architecte a conçu le 144e pilier légèrement penché, signifiant ainsi que le temple ne sera jamais terminé ou qu'il n'y a pas de dieu parfait (au choix).

En sortant de la visite nous ne voyons plus ni notre guide ni le bus sur le parking. Après une heure d'attente, le bus réapparait avec à son bord notre Lalit confus. En fait, le bus était de nouveau en panne et le chauffeur avait cherché un garagiste au village. Sur la route de Udaipur nous croisons des groupes de singes langour voleurs de bananes. Lalit nous avait conseillé le midi de garder quelques bananes pour les signes. Michèle n'a pas eu le temps de descendre du bus que déjà un singe dévalait la colline et lui piquait les deux fruits qu'elle cachait dans son dos.

7e étape : Udaipur (Samedi 28 février)

Fondée en 1559 par Udai Singh, avec 600 000 habitants, capitale du Mewar, est appelée la ville des lacs. Le lac artificiel Pitchoula, situé au bas des montagnes environnantes abrite en son milieu  un palais d'été devenu un hôtel de luxe dans lequel fut tourné le James Bond "Octopussy" , et  l'ile aux femmes avec des jardins magnifiques que nous visiterons ainsi que le Palace City du Manharana (encore plus hautgradé qu'un Maharaja!) immense bâtisse composée de plusieurs corps de bâtiment construits en plusieurs étapes.

Nous partons pour Pushkar vers 15h par une route en travaux et des encombrements indescriptibles. En plus des camions TATA habituels, nous sommes envahis par les camions qui transportent les blocs de marbre blanc, spécialité de la région. Nous arriverons à destination après 22h00 dans un lodge après plus de 7h00 de route. Le diner est frugal, la soupe acide mais la banane flambée délicieuse. On couche dans un bungalow avec un toit en paille. Le vent se lève et l'orage gronde...on ne dort pas beaucoup cette nuit là.

8e étape: Pushkar - Jaipur (Dimanche 1er mars)

Après un petit déjeuner frugal à l'image du lodge, nous visitons le temple de Brahma en centre ville qui accueille beaucoup d'indiens car c'est le deuxième lieu sacré de pèlerinage de l'Inde après Bénarès. La ferveur religieuse des pèlerins est impressionnante, les femmes semblant heureuses et souriantes lors de leur sortie du temple qui est couvert d'exvoto sols et murs en marbre blanc, la pierre régionale.

Tous les ans se sont un million de pèlerins qui se baignent dans le lac artificiel. Il reste plus de 400 temples dans la région malgré les quelques 1200 temples qui existaient avant leur destruction par les musulmans Moghols.


Ci-dessus une vidéo sur la façon de coiffer le fameux turban indien.

Départ pour Jaipur vers 11h00. Arrivée à Jaipur vers 14h00  au magnifique hôtel Paradise sous la pluie. Nous visitons une fabrique de tapis en Cachemire. Michèle aura quelques problèmes avec le vendeur qui lui "refilera" dans un sac plastique sans qu'elle s'en aperçoive un pashmina en soie différent de celui qu'elle avait choisi. On retourne à la fabrique avec notre guide, Michèle tente d'expliquer qu'elle veut le changer, mais le vendeur se cache et le patron fait mine de ne pas comprendre.

9e étape - Jaipur - Amber (Lundi 2 mars)

La ville devint la capitale du Rajasthan vers 1733 lorsqu'Amber situé à quelques lieues s'avéra trop petit. On traverse en bus la vieille ville très bien conservée au cœur d'une enceinte constituée de murs et de bâtiments dont le fameux "palais des vents" ou Hawamahal. En fait il s'agit d'une façade de plusieurs étages percée de moucharabiés qui permettait aux épouses et concubines de voir ce qui se passait dans la rue. Le vent traversait les fenêtres en donnant un peu de fraicheur bienvenue l'été.

Nous faisons une visite très intéressante du musée d'astronomie avec le plus grand cadran solaire du monde avec une précision de 2°. Notre guide nous explique le fonctionnement de l'Astrolab qui permet de reconnaître une étoile la nuit en pointant un télescope fixé sur une plaque orientée convenablement. Il nous donne un cours sur les signes du Zodiac. Il rappelle que la visite d'un astrologue est obligatoire pour les mariages arrangés afin de vérifier la compatibilité des signes et ascendances. On se balade en pousse-pousse dans les rues de la vieille ville au milieu des embouteillages en emmagasinant une bonne dose de NoX et autres particules fines..


Amber est ceinte de 12 kms de remparts qui encerclent La visite commence par une montée vers l'entrée du palais à dos d'éléphants, beaucoup plus confortable que le dromadaire! Nous finirons la journée au cinéma Raj Mandir, immense salle luxueusement décorée. Nous regardons un film indien en version originale non sous titrée. Au bout d'une demi-heure tout le monde est sorti.

10e étape: Agra (mardi 3 mars)

On visite le fort rouge,  palais Fatelpur Sikri construit par l'empereur Akbar. Notre guide Lalit veut vérifier que nous avons bien retenu ses leçons, et en particulier les noms des six empereurs Moghols qui ont marqué l'histoire du Rajasthan depuis le 16e siècle. Evidemment c'est une catastrophe! Le lendemain nous avions des antisèches et nous étions nombreux à pouvoir citer : Babur le 1er, Humayun, Akbar (1556 mort en 1605), Jahangir mort en 1627 et Shah Jahan mort en 1666 qui a construit le Taj Mahal pour honorer son épouse décédée, destitué par son fils Aurang Zeb dernier empereur Moghols.

Akbar s'est marié avec Jodhbai d'Amber dont ils eurent un fils Jahangir (dire Jeanguy). La deuxième épouse était turque. Il quitta le fort rouge d'Agra pour Lahore car  la région manquait cruellement d'eau potable. Il fut celui qui tenta de rassembler les différentes religions. On trouve des symboles de chacune incluant les jains dans l'architecture des bâtiments.

Nous rejoignons notre hôtel le Grand Impérial avec des chambres somptueuses avec lit à baldaquin, petit salon privé, grande salle de bain. Nous décidons d'aller nous balader dans les environs avec les Drivet, à travers un dédale de rues étroites, sales, bruyantes  et encombrées. Au bout de quelques temps nous distinguons le Taj Mahal au loin mais décidons de revenir à l'hôtel en tuk-tuk afin de retrouver le calme et la sérénité. Nous dinons dans un restaurant avec un spectacle de magie avec un numéro original qui consistait à mélanger de la poudre de grès rouge avec du sable fin , de plonger l'ensemble dans un bac rempli d'eau. Le magicien plonge les mains dans le récipient et en retire chaque poudre séparément et la reverse sèche dans son bac.

le lendemain (mercredi 4 mars), réveil à 6h00, en fait le muezzin de la mosquée d'à coté nous avait déjà réveillé à 5h00.

Le temps est brumeux mais la température agréable pour la visite de la 7e des "nouvelles merveilles du monde". Le Taj Mahal ne fait pas partie logiquement des 7 merveilles du monde antique. La brume va disparaître progressivement pour laisser place à un soleil éclatant.






11e et dernière étape: Agra - Dehli

Nous reprenons la route après la visite d'un palais (?) . Nous empruntons une autoroute 3x3 voies toute neuve pour Delhi via Naïda, la ville nouvelle avec ses équipements sportifs et ses groupes d' immeubles à la chinoise Dans l'agglomération le klaxon est interdit! En principe l'autoroute est interdite aux tuk-tuk, aux vaches et  autres animaux. Cela n'a pas empêché un berger de faire paitre ses chèvres sur le bas côté de l'autoroute. Comme on ne voit pas de voitures de police dans les rues au Rajasthan, il est peinard!

Nous visitons l'immense temple Akshardham dédié à Vishnou, construit en 2000 par des généreux donateurs dans le monde et inauguré en 2005. Le cœur du temple accueille les neuf réincarnations de Vishnou, statues couvertes de 150 kgs d'or.

Nous dinons à l'hôtel Khatri et attendons le bus qui nous conduira à l'aéroport. Retour sans encombre à Paris  Charles de Gaulle par un vol Lufthansa avec probablem0ent le même A33 que nous avions pris à l'aller, via Munich.

Le groupe Promovacances

Nous nous sommes retrouvés 29 à l'aéroport avec bien entendu une petite appréhension: Comment  va se passer le séjour? En fait, tout s'est déroulé parfaitement. Aucun "emmerdeur"! des jeunes et des moins jeunes mais que des gens sympa venant de différentes régions de France: du nord, de Toulouse, de Bretagne, de Marseille, de la région parisienne ...
Sur la photo prise devant le Taj Mahal on voit notre guide Lalit au premier plan en chemise bleue et gilet.



Liste des emails:
- lalitsilgh.fr@gmail.com Lalit notre guide
- robinson.constant@neuf.fr Thérèse et Constant Robinson d'Arzon)
- andres_martine@orange.fr
- borio.danielle@sfr.fr
- lutbernard@free.fr M. et Mme Bernard Divet de Paris
- jaja.boulares@hotmail.fr Jasmine et son mari de Tourcoing
- justus.audrey@gmail.com Audrey et Céline
- Benedettimichel60@gmail.com les Marseillais
- cassara.michelle@neuf.fr
- robmeiniel@gmail.com ou armeiniel@orange.com avec l'équipe Nicole, Jean, Geneviève, Camille, Annie et Robert
- thevenonmichel@orange.fr Chantal et Michel Thevenon les savoyards de Montagny les Lanches
- archambeaufrancoise@orange.fr de Marseille
- j.roussilloux@free.fr de Marseille


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