Départ le 28 janvier - retour le dimanche 14 février
Malgré les gros orages nous avons apprécié notre séjour à
Maurice qui est une ile de toute beauté plus sauvage que la Réunion. Les gens sont
conviviaux et parlent pour la plupart le créole et par conséquent un français
compréhensible. Dès le primaire les enfants apprennent le français et l’anglais.
Le Président de la République s’exprime en anglais au Parlement mais en créole
ailleurs. La découverte de l’ile aux cerfs et de son magnifique golf nous donne
envie d’y retourner pour un séjour golfique avec des amis.
Jeudi 28 janvier : départ Orly-Sud
Nous partons de Rochefort vers 16h30. Catherine Mariau nous
amène au péage de Longvilliers où nous prenons le bus pour Massy, changement à
Antony pour le VAL qui est bourré car les taxis bloquent les abords de
l’aéroport pour manifester contre la « huberisation » les voyageurs
se déroutant donc vers le train automatique. Le vol Corsair SS910 en A330 est
prévu à 21h30 ce qui nous laisse du temps ! A l’embarquement on nous
informe que nous ferons une escale (non prévue) à Monbasa sur la côte du Kenya
pour faire le plein car l’avion est chargé de fret et ne peut pas effectuer le
vol direct. Arrivée le vendredi 29 janvier à Saint-Denis vers 13h30 (nous
sommes en avance de 3h sur Paris) où nous récupérons notre Twingo de location
(GoCar). On a quitté Paris avec 2°C et ici la température est chaude (28°C) et
orageuse. Nous trouvons après quelques hésitations (nous n’avons pas jugé utile
de prendre un GPS dans une ile !) l’appartement de Noémie Merelle très
bien situé sur les hauteurs de Saint-Denis avec donc une vue sur la vieille
ville et la côte.
Noémie nous accueille avec sa gentillesse habituelle et nous
montre son bel appartement de 200m2 en duplex avec de grandes terrasses situé
dans un immeuble récent. Elle nous quitte pour donner une formation aux femmes
enceintes dans les locaux de son entreprise situés dans le centre ville. Nous
dinons au Café Edouard, dans un quartier sympa (mais très bruyant !) du
centre ville. Retour au bercail vers 22h00 où nous faisons connaissance de la
gentille locataire de Noémie qui elle se change pour aller danser la salsa en
ville. Elle me donne des médicaments homéopathiques (Belladonne) pour tenter de
soigner ma grosse rhinite que je traîne depuis quinze jours.
Samedi 30 janvier (Saint-Denis)
Après un sympathique petit-déjeuner pris sur la terrasse, nous quittons Noémie et Saint-Denis pour nous rendre à Saint-Pierre en longeant la côte. Arrêt au marché de Saint-Paul où nous achetons des fruits de la passion, maracuja et autres ananas et visitons rapidement le cimetière marin où est enterré Charles Marie Leconte de Lisle. On mange une salade au « ZAT » restaurant en bord de mer conseillé par Noémie.
Après un sympathique petit-déjeuner pris sur la terrasse, nous quittons Noémie et Saint-Denis pour nous rendre à Saint-Pierre en longeant la côte. Arrêt au marché de Saint-Paul où nous achetons des fruits de la passion, maracuja et autres ananas et visitons rapidement le cimetière marin où est enterré Charles Marie Leconte de Lisle. On mange une salade au « ZAT » restaurant en bord de mer conseillé par Noémie.

Dimanche 31 janvier : Saint-Pierre et ses environs
Ce matin les nuages sont présents. Nous partons visiter les
alentours : le Tampon, la plaine des Cafres, la plaine des palmistes avec
la vue plongeante sur la côte et Saint-Benoit. Nous attaquons la randonnée vers
la cascade Biberon mais le chemin est fermé. On se rabat sur la belle forêt de
Bébour avec au bout de la route une vue panoramique sur le cirque de Salazie
que nous apercevrons par intermittence entre deux nuages. On ne verra pas le
piton des Neiges. Retour vers la côte où nous tentons sans succès de trouver à
manger à Saint-Benoit complètement désert le dimanche. Tous les commerces et
restaurants sont fermés. Le dimanche tout le monde par en famille piqueniquer
dans la montagne au frais. En longeant la côte nous trouverons un gentil petit
restaurant rampe des chicots avec vue sur la côte et « les cinq
orangers » à Saint-Anne. Nous goutons au cabri massalé et au civet de
lapin, spécialités du coin pour 32€ avec en boisson l’incontournable bière
locale, la « Dodo ». Retour au gîte vers 17h00 pour un bain bien
mérité en attendant Coline et Emeric Denis qui rentrent juste d’un séjour dans
l’ile de Rodrigue avec les parents Denis et dont le vol à du retard. On
s’échange des mails pour décider de reporter l’apéro au lendemain.
Lundi 1er février : Cilaos
Debout à 7h30 (un exploit) avec un ciel bleu. Nous partons
pour le cirque de Cilaos. Il y a un gros embouteillage qui bloque la route dès
la sortie du gîte. Nous apprendrons que cela est du à un accident sur la 4
voies vers Saint-Pierre (N3), les automobilistes empruntant alors la seule
route parallèle – la notre ! Il nous faudra 1h30 pour rejoindre Saint-Louis
par les petites routes de la Ravine des Cabris. Puis nous attaquons la route
des « 400 virages » dans un cadre majestueux vers le cirque de
Cilaos. Après une petite marche vers la « roche merveilleuse » point
de vue sur le Piton des neiges qui me verra essoufflé et obligé de faire des
haltes fréquentes pour reprendre mon souffle. Pas question donc d’envisager des
longues marches en montée pour l’instant. Nous déjeunons à Cilaos de
spécialités locales, saucisses et lentilles. Retour au bercail où nous profitons
de la piscine avant l’arrivée des Denis
qui habitent à deux kilomètres de notre gite. Ti punch pour les hommes, moritos
pour les femmes suivis de quelques « dodo » pour finir la soirée et
envisager une sortie commune en hélicoptères et une visite de la barre de
corail avec Emeric.
Mardi 2 février :
Saint-Gilles
Mercredi 3 février : piton de la Fournaise
Jeudi 4 février : la côte des coulées de lave
Nous remontons la côte vers l’est de Saint-Pierre vers La
pointe des Cascades. Nous visitons de jolies anses avec des petites plages
superbement ombragées et aménagées pour la baignade et protégées des
requins ! Langevin, Grande anse, Vicendo etc. Nous découvrons les
différentes coulées de lave qui ont ravagées les terres et parfois les villages
de la côte. Les falaises noires sont battues par une houle forte. Nous nous
arrêtons près de Saint-Philippe à Mare Longue pour déjeuner dans un snack sympa
avec des tables au bord de l’océan. Dégustations de gratin de palmistes et
sauté de porc au chou de coco (partie haute et cœur de la tige du palmier). Puis
retour à Grande Anse pour une baignade
(Michèle) et sieste (Didier). Nous dinons avec nos hôtes et les autres
locataires du sud-est et de Savoie. Les discussions sur la politique font
penser au « café du commerce ». Chacun avait apporté une entrée et/ou
un plat, nos hôtes ayant préparé le ti-punch et le dessert (banane flambée).
Vendredi 5 février: Les Denis
Nous allons à Saint-Pierre réserver notre vol pour Maurice.
On se ballade un peu mouillé dans le village d’Entre-deux, la pluie ne s’arrêtera
plus jusqu’au soir. C’est donc exclu de pouvoir nager dans le lagon pour
aujourd’hui. On dine chez les Denis. Ils nous ont indiqué un chemin pour
atteindre leur rue. Il fait nuit noire, nous tournons en rond sans trouver la
rue. On retourne donc chez Marc qui nous donne une autre route beaucoup plus
simple. En fait on est distant de moins de deux kilomètres. On passe une excellente
soirée chez les Denis en dégustant un gratin de chouchou avec rhum arrangé à l’orchidée,
boisson interdite à la consommation sur l’ile.
Le Samedi 6 février : Bras Panon
Départ vers Bras Panon via la plaine des Cafres. La chambre
du gite n’était plus libre aussi devions nous changer de chambre. Arrivée au
col, la visibilité est nulle. On cherche la rue Lamartine… on se fait ballader.
Finalement on s’arrête chez ProVanille où l’hôtesse nous indique le chemin par la
sortie vers Saint-Benoit. On trouve enfin notre chambre d’hôte « Fleurs
des iles » accueilli par les sympatiques Mireille et Patrick. La chambre
est petite mais nous sommes à 100m de la côte dans un quartier tranquille. On
visite la fabrique de vanille (ProVanille) avec le guide Mathieu qui connait
son sujet. Il nous explique la méthode de pollinisation manuelle particulière
utilisée pour les fleurs (lianes). Il s’écoule pas moins de 18 mois entre la
récolte des gousses, l’étuvage, le séchage et enfin le calibrage des gousses et
la mise en sachet hermétique. On visite les « chutes des délices » du
côté de Saint-André (pas terrible comparées à Iguaçu !). C’est le 1er
jour des soldes et les routes autour des centres commerciaux sont très
encombrées. Nous optons pour l’achat de plats préparés de poulet-riz et
camarons pour Michèle. On regarde le match de rugby France-Italie (23-21 pour
la France), et la 2e mi-temps Ecosse-Angleterre qui gagne. Des trombes
d’eau s’abattent sur nous toute la nuit et nous empêche de dormir. Michèle s’inquiète
pour notre voiture qu’elle imagine noyée et emportée par les flots dans l’Océan.
Dimanche 7 février : Cirque de Salazie et Hell Bourg
Nous déjeunons avec l’autre famille, un avocat réunionnais
marié et son épouse née à Châteauroux et leurs deux filles. On parle de la vie
sur l’ile, de son chômage (38%) qui touche principalement les jeunes. Les gens
se débrouillent en famille pour survivre. On part pour le cirque de Salazie
sous des ondées récurrentes. La route suit une vallée profonde dont la rivière se gonfle de l’eau qui tombe des multiples
cascades. On pousse jusqu’au village de Hell Bourg et jusqu’aux confins de la
vallée en suivant la route de l’ilet à Vidot. Tout cela doit être beau sans
cette pluie incessante qui nous gâche la ballade et la visibilité sur le cirque
de Salazie. On ne déjeunera pas « Chez Alice » le restaurant renommé
du village il est trop tôt. On déjeune à Saint André dans un des seuls
restaurants ouverts le dimanche. Nous sommes dans le quartier Tamoul avec son
immense temple du Colosse très rococo. Retour rue Lamartine pour une marche le
long de l’océan sans pluie. On regarde le match de rugby Irlande-Pays de Galles
(18-18) et dinons d’une simple pizza dans la pièce commune.
Lundi 8 février : Visite du centre de Saint-Denis
Après un petit-déjeuner copieux pris en présence de notre hôtesse
Mireille très bavarde. Son père qu’elle doit emmener à l’hôpital en prévision d’une
petite opération cardiaque est d’origine indienne, ethnie très présente dans
cette partie de l’ile avec fréquemment des petits temples implantés dans les
jardins des résidences. Elle nous raconte sa vie de pompier volontaire et les
problèmes des jeunes souvent confrontés à des accidents de moto liés au cannabis
et à l’alcool, aux comoriennes qui ne veulent pas accoucher à l’hôpital. Son
mari Patrick est réunionnais. Il est très sportif et s’est engagé dans l’armée
effectuant des stages à Fréjus, dans la Marne et dans les commandos marines
avant de revenir à la Réunion où il est désormais maitre-nageur dans un collège
de Saint-Benoit. Il s’est fait élire en 2014 au conseil municipal pour défendre
un projet de piscine d’eau de mer en opposition avec le Maire qui préfère un
projet hôtelier avec piscine !
Nous profitons d’une relative accalmie du temps pour nous
rendre dans le centre ville de Saint-Denis et acheter quelques fruits au
marché. Nous traversons le joli jardin de l’état créé en 1767 en espérant
pouvoir visiter le Muséum d’histoire naturelle fermé ! Nous rentrons à Bras-Panon
sous la pluie qui ne nous quittera plus de la journée et de la nuit.
Mardi 9 février : Départ pour Maurice
Nous prenons un vol pour Maurice à l’aéroport de Saint-Denis
à 12h00 par Air Mauritius (ATR 42). Notre taxi Rajiv nous attend et nous emmène
à notre gîte situé à Mahebourg (68
Morcellement Morette) à quelques kilomètres de l’aéroport. Nous sommes
accueillis par Siris et sa maman Pratima.
Ils habitent la maison d’à coté et s’occupent des locataires
du gîte. Nous faisons un planning de nos activités pour les quatre jours avec
Siris ce qui implique systématiquement les services d’un taxi pour se déplacer
car la gare routière est assez éloignée du gîte et les horaires peu pratiques
pour des touristes. La chambre est petite au RdC d’une résidence avec un étage.
La piscine couverte n’est pas très engageante avec son eau un peu trouble.
Nous marchons vers le centre de Mahebourg en longeant la
côte avec vue sur la magnifique baie et ses iles. Le soir nous dinons d’un cary
de poisson préparé par Pratima avec en dessert des bananes flambées pour 800 Rs
la roupie mauricienne soit environ 20€. Ici la bière locale est la « Phoenix ».
Mercredi 10 février : Départ pour Port Louis
Nous faisons la connaissance de notre taxi Paul Nobin
(Mobile 751610) qui habite à proximité et qui est très sympathique. Nous prenons
la route de Port Louis situé à l’opposé de Mahebourg en compagnie de Siris qui
doit aller faire des examens à l’hôpital. Nous apprenons qu’il se rend le
lendemain à Tananarive (Antananarivo). Son amie franco-malgache habite la
capitale de Madagascar. Il a l’intention de se lancer dans la gestion d’un gîte
touristique sur place. Nous arrivons à Port Louis sous une pluie torrentielle. Les
hôtesses du Musée « Blue Penny » nous disent qu’ils vont certainement
être dans l’obligation de fermer si les risques d’inondation se confirment. On
apprendra qu’il ya quelques temps des pluies diluviennes ont inondé le port en
tuant des passants. Les autorités ne veulent plus prendre de risque et font
fermer tous les lieux publics incluant les cafés, les restaurants et les
boutiques. Dix minutes après notre entrée au Musée, une hôtesse nous demande de
quitter les lieux et nous rembourse notre entrée. Nous nous rendons au marché
situé non loin du port qui est en train de fermer également. Le vigile nous
laisse entrer complaisamment et nous pouvons nous balader rapidement dans les
allées en admirant les magnifiques fruits et légumes locaux avec les différentes
odeurs qui émanent des étals.
Nous retrouvons notre taxi trempé comme des soupes qui nous conduit
à « Blue Bay » une belle plage située à proximité de Mahebourg. Nous
empruntons avec un couple d’asiatiques un bateau à fond plat vitré afin d’admirer
les fonds marins et les coraux ainsi que la multitude de poissons de toutes les
couleurs. Le temps est un peu plus calme de ce coté de l’ile. Nous déjeunons au
restaurant « La Colombe » à Mahebourg et dégustons un vindaye d’ourite
(le poulpe local) aromatisé avec du safran et de la moutarde et d’un cary d’agneau
arrosé d’un vin blanc local assez agréable. Nous rentrons au gîte après une
longue ballade le long de la côte vers Blue Bay jusqu’à la pointe d’Esly et sa
magnifique plage de sable blanc qui contraste avec le ciel noir ! La plage
est bordée de belles villas appartenant à de riches propriétaires mauriciens.
Pour diner, Patrima nous a préparé un cury de poulet avec une salade de cresson
sauce blue-cheese et pastèque pour 700 Rs soit 17€ environ.
Jeudi 11 février : Chamarel
Le soleil est là ce matin ! Siris règle les derniers
détails de notre future ballade en bateau vers l’ile aux cerfs, le site le plus
touristique de l’ile, avant de prendre l’avion pour Tananarive. Paul nous prend
à 9h00 et nous emmène vers le sud de l’ile en direction de Grand Bassin et du
Bois Chéri. Nous visitons la ferme du thé et son Musée avec dégustation de
différents thés et tisanes dans un cadre magnifique. Nous visitons la rhumerie
de Chamarel ouverte en 2003 et dont la culture de la canne à sucre est dédiée à
la fabrication du rhum et de ses dérivés. Notre guide Amandine aidée de sa
copine « la petite » nous explique les étapes de la fabrication du
rhum. La visite est suivie d’une dégustation d’une douzaine de rhums, rhums
arrangés et vieux rhums de 6 ans d’âge ce qui est peu mais lié à la jeunesse de
l’exploitation. Nous sommes légèrement gris lorsque nous sortons de la rhumerie
avec notre bouteille de Rhum « XO ». On déjeune dans les environs d’une
dorade grillée avec sauce à l’asperge pour Michèle et d’un steak de bœuf avec
sauce aux champignons pour Didier. Paul nous conduit vers la baie du « Morne Brabant»
et l’ilot Fournot puis on longe le golf de « Bel Ombre », le village
d’Heritage, Souillac, Benarès et ses arbres géants avec de très beaux points de
vue sur la côte sauvage.
A peine rentré à Mahebourg, nous repartons avec Paul pour la
plage de Blue Bay prendre un bon bain dans l’Océan indien avec un magnifique
coucher de soleil sur le lagon. Paul nous conduit au restaurant réputé de « La
Vieille Rouge » dans Mahebourg, la vieille étant le nom d’un poisson
local. Nous sirotons un morito avant de déguster un vindaye d’ourite et ananas
flambé en dessert pour Didier et banane flambée pour Michèle.
Vendredi 12 février : « Croisière » à l’Ile
aux Cerfs
Samedi 13 Février : Port Louis, Pamplemousse
Ce matin le soleil brille, Paul nous conduit vers Port-Louis
et le jardin botanique de Pamplemousse avec son superbe parc arboré d’arbres
centenaires, le mausolée simple du 1er Président de la République de
Maurice (1968), ses nénuphars géants.
On visite Grand Bay, villégiature des
retraités français et des touristes. Les pêcheurs étalent leurs prises du jour avec des poissons de multiples couleurs. Puis déjeuner dans le restaurant « chez
BE’NI » à Pamplemousse. Michèle prend des camarons et je me régale avec
deux vieilles rouges grillées arrosées de vin blanc de Maurice pour 2450 RS
avec le dessert.
Retour à Port Louis pour une rapide (re)visite du port Candan et le marché où nous achetons quelques fruits. La pluie se remet à tomber et nous attendons notre taxi qui nous ramène à Blue Bay pour un dernier bain. Diner préparé par Pratina qui ne change pas beaucoup de la veille avec plat de nouilles grillées avec des morceaux de poulet et d’omelette. On regrette un peu de n’avoir pas pris un gîte à Grand Bay, ville plus animée que Mahenourg.
Retour à Port Louis pour une rapide (re)visite du port Candan et le marché où nous achetons quelques fruits. La pluie se remet à tomber et nous attendons notre taxi qui nous ramène à Blue Bay pour un dernier bain. Diner préparé par Pratina qui ne change pas beaucoup de la veille avec plat de nouilles grillées avec des morceaux de poulet et d’omelette. On regrette un peu de n’avoir pas pris un gîte à Grand Bay, ville plus animée que Mahenourg.
Dimanche 14 février : le départ
Lever à 6h00, notre taxi Rajiv est bien là à 6h45 comme
convenu. Il se lève tous les jours à 5h00 du matin, fait son footing et va se
baigner avant d’attaquer la journée. Pratima nous offre un superbe cadeau de
départ (un mug au logo du gite !), on prend une photo et c’est le
départ pour l’aéroport et le retour sur
Paris Orly avec un Boeing 747 de Corsair beaucoup plus confortable que l’Airbus
A330 de l’aller.
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